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 Zephire Selith

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Zephire Selith
Zephire Selith

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Ordre des gardiens: Ignore l'existence
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MessageSujet: Zephire Selith   Zephire Selith I_icon_minitimeDim 31 Aoû - 18:46




Zephire E. Selith

Position et opinion
- Conflit humain : que la guerre éclate ou non, le prince n'en a que faire. Qu'est-ce que cela changerait pour lui? Dans d'autres pays, en tant que prince, il aurait probablement été promu à un haut rang de l'armée royal pour aider son père. Mais Cyfalen n'a aucune armée. Même par les armes, Zephire ne peut espérer s'élever, et ce quand bien même il fit ses classes militaires avec brio et devint un excellent stratège militaire. Alors, la guerre, les conflits et tout le reste: cela lui est parfaitement égal... Ou presque.
À cause des tensions constantes et de l'angoisse croissante de la population, le jeune homme est continuellement forcé par sa mère, la reine, à parader avec ses sœurs pour rassurer les foules. S’enchaîne alors bals, apparition publique, réceptions diplomatiques et autres mondanités insipides où il lui faut museler ses paroles acerbes au risque de devenir la cible de foudre de sa famille. Dans ces conditions, on peut comprendre qu'il soit pressé que la situation cesse.
Cependant, Zephire ignore s'il préférait voir son pays vaincre ou courber l'échine. La partie raisonnable de son être est naturellement consciente qu'une victoire serait préférable aussi bien pour sa famille que pour son confort personnel, mais... Une autre partie, une faible et lancinante petite voix dans sa tête préférait les voir perdre. Si Cyfalen venait à être vaincu, la dynastie des Selith prendrait fin. Il sait que ce serait horrible, que sa mère serait probablement mise à mort, tout comme ses sœurs, mais... Lui, il ne serait plus prince, enchaîné par le protocole. Il serait libre. Réellement libre. Mais inévitablement ce genre de pensées finit par le faire se sentir coupable, alors que son égoïsme et sa raison se livrent un combat sans merci. Il aime sa famille, oui, mais mérite-t-elle vraiment qu'il taise ses envies pour elle? Est-ce là la seule solution? La seule option qui s'offre à lui? Le seul changement possible est-il forcement lié à la mort de ceux qu'il aime?
La liberté par le chaos. Et si c'est là le seul moyen d'y arriver, et s'il n'y a pas d'autre solution, le fera-t-il? Une partie de lui a envie de dire "pourquoi pas"?
Pouvoirs et influences
- Influence (5) : S'il n'a qu'une autorité relative, le prince est cependant très doué pour faire valoir son influence, ayant appris avec les années à en jouer quand cela été nécessaire
- Dévoreur (0) : Permet d'absorber toute l'anima des êtres et des objets qu'il touche. Si ses réserves son pleines, l'anima qu'il absorbe est automatiquement converti en lumière.


Physique ܀ Caractère

Une impression de rejet constant. Un lancinant sentiment de ne pas être à sa place. D'être tacitement rejeté, sans ce cela ne s'explique, sans que personne n'en ait vraiment conscience. La différence. Quel singulier désarroi. Est-il naturel de le ressentir si fort quand on grandit en tant qu'homme dans un monde de femmes? Avec le temps, à défaut de trouver une réponse plus probante, on s'en convainc. Et avec le temps, on apprend à faire avec. "C'est normal", ça ne sert a rien de le crier, ça ne sert à rien d'exprimer cette injustice, ça n'y changera rien. A force de se le répéter, on peut même venir à y croire, noyant alors ses inquiétudes dans une mer de raison.
"Accepte et continue à vivre avec, ça passera".

Pourtant, le mal reste là. Rien ne passe, au contraire. Ce sentiment est toujours présent, pourrissant, grouillant comme un ver sous la chair. Et au fil des années, ce qui n'était qu'une brève impression se transforme en une plaie béante et purulente, sans qu'on n'en comprenne la cause. D’où vient cette douleur? À quoi est-elle due? Le lien est trop difficile à faire, et des années à nier les faits n'aident pas à les accepter. Les questions tournent sans qu'aucune réponse ne vienne: "Pourquoi ai-je mal"? "D’où me vient cette colère"? Rien n'y fait, la douleur reste, quotidienne, constante et toujours plus violente. Inévitablement, on s'assombrit. Inévitablement, on se détache des autres.
On se sent moins différent quand on n'a plus personne à qui se comparer.

Voilà. Vous avez là les bases du personnage. Ce qui forgea Zephire. Ce qui le façonna : la différence. Une différence qui dépassa sa compréhension dès lors qu'il se rendit compte de sa présence. Une différence que personne ne pue lui expliquer, pour laquelle personne n'avait de réponse, et à laquelle le prince fini par répondre avec arrogance et dédain. Si le monde tout entier lui était différent, alors lui, il lui serait supérieur. L’orgueil est encore le meilleur moyen de cacher ses plaies les plus douloureuses. De là, il n'est pas difficile comprendre comment sa réputation devint celle d'un homme capricieux, vaniteux et terriblement outrecuidant. Et ainsi, c'est le rôle du vilain petit canard qu'il s'octroya, le tout avec désinvolture qui le caractérise, un sourire en coin ne le quittant pas.
Si elle semble volontaire, il devient plus simple de s'enorgueillir de sa différence, quand bien même on n'en tire aucun plaisir, aucune satisfaction, en réalité...

Caché derrière ses allures incorrectes, le prince devint bien moins estimé que ses sœurs, et sans aucune surprise, sa présence à la cour en devint dépréciée. Ses paroles blessaient les oreilles si délicates des courtisanes, et ses manières offusquaient les mœurs si conservatrices de la noblesse. Seule son apparence resta charmante : ses grands yeux verts trompant son monde un instant, alors que sa chevelure blonde lui donnait un faux air angélique. Sans parler de sa taille, frôlant les un mètre quatre-vingt-cinq, qui lui permet sans mal de toiser la plupart de ses interlocuteurs de haut, avec un petit sourire suffisant. Non, il n'y a rien a dire, d'apparence, il est charmant et charmeur, avec ses manières de gentilhomme, trop fortement encrées en lui pour qu'il s'en défasse, lui donnant un port droit et une allure princière. Et son sourire! De loin le plus fourbe! Joueur et taquin. Un brin insolent, et pourtant si séduisant. On lui donnerait le bon dieu sans confession. Le prince est toujours somptueusement vêtu de parures et d’étoffes raffinées, étant bien trop égocentrique pour négliger sa toilette. Sur ce point, il n'a rien à envier à ses sœurs. Il est, de son point de vue, parfait, et par conséquent, sa tenue se doit d'être toujours aussi parfaite que lui-même. Les meilleurs rôles se forgent sur ce genre de détails, après tout...
Ses interlocuteurs se fourvoient toujours au premier regard: son apparence est de velours, mais ses mots sont un poison qu'il déverse sur quiconque aurait l'audace de briser sa forteresse de solitude, le tout avec un rictus désabusé sur ses lèvres moqueuses. Ce n'est pas de vous qu'il se moque, mais de lui-même. C'est fou à quel point l'Homme fourmille de contradiction: il s'aime et il se déteste. Il vous hait, mais vous envie.
L'auto-dérision comme mode de vie. Quoi de plus normal quand toute son existence n'est rien de plus qu'une farce?

Ah. Reste le sujet des femmes. Parlons-en. Le prince les honnit, misogyne du plus profond de son âme. Pouvons nous attendre autre chose d'un homme ayant grandit étouffé sous la présence surprotectrice des trois plus puissantes représentantes du beau sexe en Cyfalen? Pouvons-nous attendre autre chose d'un homme sachant pertinemment qu'il n'aura jamais aucun pouvoir, à cause d'elles? Quelle ironie de naître prince dans un monde de reines. Aucun pouvoir, aucun avenir, et aucune évolution possible. Le lourd prix d'un sang bleu. Tous les hommes de ce monde ont en réalité plus de liberté que lui. S'ils n'ont rien, ils peuvent au moins se battre pour avoir ne serait-ce que des miettes. S'ils ont tout, rien ne les empêche pourtant de tout abandonner du jour au lendemain. Ils sont maîtres de leurs destins. Ce qui n'est pas son cas. Quand on naît aussi haut, il est inacceptable de redescendre, et puisque aucune ascension n'est possible, on se retrouve prisonnier de son propre rang. Tout au plus, il sert à parader, mais même pour cela, sa sœur aînée le battent à plat de couture. Qu'il est horrible de ne servir à rien et d'en avoir conscience. Ça ne créer rien, si ce n'est encore plus de colère.

Et de la frustration à ne plus savoir quoi en faire.

Passé ܀ Légende

Si fallait commencer cette histoire quelque part, le plus logique serait probablement de commencer par la naissance. C'est généralement ici le point de départ pour tout le monde, si je ne m'abuse. Dans le cas présent, sa naissance n'était pas prévue. Ayant déjà deux filles en pleine santé et pouvant parfaitement remplir le lourd fardeau d’héritière de la couronne, ses parents n’envisageaient pas d'avoir un troisième enfant. Pourtant, ils ne rejetèrent pas leur enfant, et une fois la surprise de l'annonce passée, ils préparèrent l'arrivée du troisième enfant royal avec le même entrain que pour les précédents.

Un fils. Le premier de sa génération et petit dernier de sa famille, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il fut choyé par tous, adoré par son père, et materné par ses sœurs. Sa mère fut de loin la plus étouffante, le surprotégeant bien plus qu'elle ne l'avait fait jusqu'alors pour sa progéniture, essayant de prévoir aux complexes qu'elle avait déjà vu naître chez ses frères, au fils des années. Probablement qu'au fond d'elle, inconsciemment, elle avait parfaitement senti cette "différence" chez lui, alors même qu'il grandissait dans son ventre. Si elle avait prié, si elle avait espéré que ses peurs ne prennent jamais forme et que son erreur n'entache pas son enfant, elle sut, au moment même où elle le tint dans ses bras pour la première fois, que cela avait été vain, que le mal était fait. Et qu'il faudrait désormais le cacher au monde pour pouvoir, non pas vivre, mais tout juste survivre.
Seulement survivre.

Toute sa jeune enfance fut donc heureuse. Loin d'être le dernier pour les mauvais coups, et contrairement à ce qu'on aurait pu penser au premier abord, c'est le jeune prince qui entraînait le plus souvent sa sœur cadette, dans les pires stupidités. Les fractures furent nombreuses, mais rien ne sembla les arrêter, jusqu'à qu'Helena grandisse, à son tour, n'ayant plus le temps pour les enfantillages, à son tour happée par son rôle de princesse.

La Différence, jusqu'alors latente, fit son apparition au début de sa puberté, se faisant alors malencontreusement associée à la crise d’adolescence allant de pair avec cette période ingrate. Cela le changea sensiblement, irrémédiablement, mais le mal était encore latent, invisible, alors qu'il devenait lentement hautain, se montrant de plus en plus dédaigneux. Indiscipliné. Rebelle. Colérique et inaccessible. Et quand la Différence atteint son paroxysme, il commença à fuguer, et ce quand bien même la garde royale finissait par le retrouver, sa mère redoubla d'attention, essayant en vain de le protéger contre lui-même.
Ses prières n'avaient pas été entendues, et le problème était désormais bien présent...

La première fois que "cela" arriva, le prince le nia si bien qu'il réussît à se convaincre que cela n'avait pas eu lieu. Pourtant, aujourd'hui encore, cet instant est gravé dans son esprit. Tout se passa si vite. Il ne faisait rien de plus qu’attraper une veste, une simple et banale veste. Mais à peine eut-il posé ses doigts dessus que cette dernière, devenant une sorte de résidu de lumière chatoyante d'une étrange couleur miel, se désagrégea jusqu'à disparaître. Quand le surnaturel se mêle à notre quotidien, incapable de l'accepter, on l'ignore. Puis cela recommence, encore, encore et encore. Jusqu’à devenir une réalité à laquelle on doit apprendre à faire face, aussi terrifiante soit-elle.
Cela commençait toujours par un sentiment de malaise. L'impression inexplicable de sentir étouffer, compressé comme si toute l'air du monde ne suffisait plus pour respirer librement. Et soudainement, comme si quelque chose se brisait au fin fond de son esprit, un déclic arrivait, libérant une force puissante et dévastatrice, réduisant tout ce qu'il touchait de ses mains à l'état d'étrange substance vaporeuse de couleur miel, qui disparaissait en fondant en lui, le libérant de son malaise.
Il ne le contrôlait jamais, et quand bien même il essayait, cela ne faisait que retarder l'inévitable, rendant les choses pires quand il ne tenait plus. On peut ignorer une veste, un verre ou une chaussure qui disparaît. Cependant, il est plus difficile de nier l'évidence quand le pan tout entier d'un mur se retrouve réduit à néant. Alors on commence à avoir peur. Non pas des autres, mais de soi-même.
Et que se passerait-il si quelqu'un le voyait faire? Et que se passerait-il s'il touchait quelqu'un? L'isolement devient le seul moyen de protéger le monde de soi-même. Ne ne jamais en parler, ne jamais y penser, quoi qu'il arrive. Le cacher, se taire, et attendre que ça passe. Cette chose... Cette malédiction n'a rien de normale. Mais personne ne peut comprendre cela. Ni ses sœurs. Ni son père. Ni sa mère.
Et c'est impuissante que sa famille le vit s'éloigner, mois après mois.

Et la peur se mêle alors délicieusement à la solitude. Le mélange parfait. Maintenant ce n'est plus qu'une impression de différence, c'est une évidence. Une évidence qu'il faut cacher. Reste l'utilisation abusive de gants. Après tout, c'est nettement plus simple de cacher la disparition d'un gant que d'une fenêtre. C'est une protection, un bon moyen d'éviter le pire. Mais ça ne suffit pas à calmer ses "crises", c'est trop peu, bien trop peu. Alors cela recommence toujours trop vite. Jusqu’à maintenant, en huit ans, cela n'arriva que six fois. Pas assez pour se faire remarquer, mais déjà trop pour qu'on ne soit pas terrifié à l'idée que cela recommence. Zephire n'est pas dupe. Cela s’amplifie, devenant plus fréquent et plus... Violent.

Sans surprise, après le premier incident, Zephire demanda à quitter le foyer familial, cherchant à s'éloigner. Il est plus facile de cacher son malaise aux gens qui ne nous connaissent pas. Et Helena se montrait si insistante, certaine que quelque chose n'allait pas, lui demandant sans cesse pourquoi il se montrait si "bizarre", que Zephire avait l'impression de suffoquer constamment. À chaque fois qu'elle disait ce mot, le cœur du prince faisait un bon, certain qu'elle savait, qu'elle savait tout. N'y tenant plus, il fit part à sa mère de son envie d'étudier à Sonnenstadt, demandant à aller faire ses classes à militaire chez leurs voisins. Naturellement, sa mère fut contre, voulant le garder auprès d'elle, mais ne trouvant aucun argument convaincant pour le retenir, elle dut rendre les armes quand son époux, en ayant assez de leurs disputes continuelles à ce sujet, appuya son fils.
C'est ainsi qu'alors âgé de treize ans, Zephire quitta Cyfalen.

La-bas, il fut plus simple de s'isoler. Il ne se fit jamais d'amis, arquant qu'un prince n'avait aucune raison de sympathiser avec le bas peuple, se montrant offusquant même avec les fils nobles, qui, en contrepartie, se moquèrent du prince de Cyfalen, un homme ayant autant de droit qu'une femme Sonnenstadtienne. Tant mieux! Il n'en fut que plus simple, sous la raillerie, de se persuader qu'il n'avait pas besoin des autres. Malgré cela, il fit ses classes avec un talent flagrant, étant particulièrement douée en stratégies et tactiques. Quelle ironie qu'une personne aussi talentueuse pour le commandement fasse partie du seul pays n'ayant aucune armée. Cependant, Zephire profita de cela pour ne pas rentrer sur la demande toujours plus insistante de sa mère, prétextant une envie d'étudier plus amplement, redoutant de rentrer en Cyfalen.
Il pue ainsi gagner quatre ans supplémentaires, enchaînant de l'étude stratégique à l'étude opérative et tactique. Ses professeurs furent, pour la plupart, révoltées de savoir ses talents gâchés dans un avenir uniquement fait de parade et de diplomatie, et ne se génèrent pas pour médire sur la couronne de Cyfalen et leur pratique insensé...

Jusqu'alors, le prince avait été trop occupé à penser à sa différence pour réellement remettre son statut en question. Si ses trois premières années passées à Sonnenstadt avaient été suffisantes pour insinuer en lui les graines de la révolte dans son âme, les quatre années suivantes lui permirent de les faire germer. Il prit alors conscience de l'inutilité de son statut, de l'injustice de la société Cyfalienne et de cette couronne qui, dans tout autres pays, aurait été sienne. C'est aussi à cette époque qu'il cessa toute correspondance avec sa mère et ses sœurs. Il conserva tout de même celle de son père, mais espaça ses réponses de plusieurs mois.

C'est donc sans surprise qu'au terme de ses quatre ans, La reine Selena, n'ayant aucune nouvelle de son fils, vint avec son escorte complète à Sonnenstadt, se déplaçant elle-même pour annoncer à son fils qu'il devait rentrer à l'instant avec elle, lui cachant bien sûr cette histoire de mariage politique avant qu'ils ne soient de retour à Cyfalen. N'ayant plus aucun moyen de fuir, et après une houleuse dispute avec sa mère, Zephire dû capituler et rentra malgré lui, jouant son nouveau rôle de prince vaniteux et imbuvable à merveille. Il se montra le plus incorrect possible avec ses soupirantes, ferma complètement le dialogue avec ses sœurs, et n'offrit plus aucune opportunité à sa mère pour se rapprocher de lui.
Zephire se fit solitaire, incontrôlable et retors. Il porta son rôle et la noblesse en dérision, buvant plus qu'il ne le faut et n'hésitant pas à avoir au bras une ou deux femmes différentes à chaque nouvelle apparition en public, incorrecte pour le seul plaisir de l'être.

Malheureusement, Zephire prit vite goût à ce petit jeu, et malgré tout, il réussit même à oublier ses Incidents et leurs conséquences, se faisant moins prudent. À quoi bon s'en inquiéter? Il ne pouvait plus fuir ou même se cacher. Et puis au pire, que risquait-il? A force de jouer l’excès de confiance, Zephire réussit presque à s'en convaincre lui-même. C'est vrai ça, pourquoi s'en fait?
Au fond, qui pourrait bien l’arrêter ?

Epilogue

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Zephire Selith

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