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 «Si ça saigne, ça peut mourrir.»

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Faust Von Hikeng
Faust Von Hikeng

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Anima : 1015
Fiche Personnage : Si ça saigne, ça peut mourir.
Race : Humain


Feuille de personnage
Ordre des gardiens: Ignore l’existence
Éveil: Ignore l’existence
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MessageSujet: «Si ça saigne, ça peut mourrir.»   «Si ça saigne, ça peut mourrir.» I_icon_minitimeJeu 4 Juin - 19:41




Faust Krauss


Von Hikeng

Position et opinion
Si guerre il doit y avoir, il y aura. Cessez donc de palabrer pendant des années, vous savez tous comment cela se finira. La reine Selena finira bien par conclure malgré tout son pacte avec Yggdrasil, en essayant de le cacher à Sonnenstadt. Elle n'a jamais su être réellement raisonnable, voulant toujours avoir le beurre et l'argent du beurre. En diplomate, elle aurait été douée, parfaite pour ce rôle, mais en tant que reine...
Il faut parfois savoir trancher, quitte à s'attirer la colère d'un seul partie. Tout ce qu'elle arrive à faire, c'est exaspérer deux camps, mais l'un des deux lui sera plus fatale. Et c'est bien pour cela que tu es là Faust, pour lui rappeler avec ton surnom de ''Régicide'' que votre honneur ne tolérera pas qu'on vous prenne pour des imbéciles nés de la dernière pluie.

Et au fond, tu ne rêves que de ça. Qu'elle franchisse le point de non retour et que tu puisses alors l'exécuter sans sommation, prouvant ainsi au reste du monde qu'il ne faut pas vous provoquer impunément. Alors enfin, cela sera au tour de ta génération d'entrer en guerre et de faire taire définitivement Yggdrasil. Tu n'es qu'un pion parmi d'autres dans ce jeu de la noblesse Faust, mais tu comptes bien user de toutes tes cartes pour qu'aucun d'entre eux ne souille le nom de ta belle patrie.
Pouvoirs et influences
Ici doivent se regrouper les capacités de vos personnages. en l'attente de la forme définitif des pouvoirs, merci de nous faire part des idées pour votre personnage. En fonction de votre fiche et de l'histoire de votre personnage, un administrateur vous aidera une fois la fiche validée à mettre cela en place.


Physique ܀ Caractère

Comment décrire un homme sur qui on peut lire son passé ? Tes cicatrices sont là pour rappeler à tous qui tu es... Ils peuvent tout ignorer de tes yeux marron clair, presque ambrés, de tes cheveux noir de jais se prolongeant dans une barbe tout aussi sombre qui couvre une mâchoire carrée. Ils peuvent ne rien savoir de ton nez droit, de ton expression la plupart du temps figé et des goûts vestimentaires quelque peu cartésiens... Mais ils savent à l'instant même qui est cet homme mesurant plus de deux mètres quand ils lèvent les yeux vers toi.
Les trois cicatrices qui habillent ton être leur rappelle qui tu es. Beaucoup ignorent d'où vient celle de tes lèvres, se disent qu'elle aussi provient de la guerre, comme la balafre qui orne ta joue gauche, ou encore la dernière qui traverse ton cou d'une part à l'autre. Elles sont comme toi, impérieuses et immuables.
Tu te tiens droit, homme fier que tu es. Tes bras souvent se croisent contre ton torse musclé, parfait rappel de ton sens de la justice qui l'es tout autant. Il n'est pas objectif, il ne peut l'être, noyé entre ton orgueil et ton foutu honneur. En fait, tu représentes bien à toi tout seul tous les défauts de votre éducation guerrière. Tu as en horreur les gens faibles, il n'y a rien de pire pour toi. Alors, si un soldat n'est pas assez fort pour supporter une blessure ou pour tuer, il peut bien aller étudier les sciences, ça ne sera pas une grande perte pour toi. Il n'obtiendra de toi que du mépris et des moqueries.
Après les faibles, ce sont les femmes qui t'insupportent. Elles ne sont bonnes qu'à procréer ou se prostituer. Elles excellent pour parler ou pour cuisiner, mais ne peuvent réellement pas être bonne à autre chose. Aucune femme ne t'a prouvé le contraire, et pour toi, elles n'y arriveraient de toute façon jamais. Selena et Aurora en sont le parfait exemple. Elles maîtrisent les mots, mais pas les armes.
Il est à savoir aussi que d'avoir été marié à une femme venue du Cartel était très déplaisant et humiliant... Ils auraient pu te marier à n'importe quelle femme de Sonnenstadt, mais non. Il a fallu qu'elle soit étrangère, pour assurer une alliance navale et ainsi vous assurer d'amasser un peu plus d'argent encore... Tu ne peux comprendre qu'on puisse compromettre un Sonnenstadtien pour si peu... Ton frère aura beau t'expliquer le pourquoi, jamais tu n'y arriveras.
Ton cher fils lui, bien qu'il ne soit qu'un incapable bon qu'à user sa cervelle sur des équations ne te déshonora pas plus encore. Dès qu'il sera en âge, tu le renverras chez vous épouser une bonne femme qui lui enlèvera ses sciences de la tête à travers ses caresses.
Malgré tout, il y a un point sur lequel tu demeures incohérent... Tu as beau détester les étrangers, tu portes la mode Cartésienne bien de chez vous. Les couleurs sont sobres, mais tu ne peux t'empêcher d'aborder un chapeau à plumes que tu apprécies sans trop savoir pourquoi. Est-ce pour mieux tromper l'ennui, les autres? Tu le sais, mais il te plaît... Le seul souvenir de ton mariage qui ne te soit pas désagréable... Et puis, Miho l'a déjà complimenté, alors.... Il faut bien une petite touche d'extravagance pour que ton cousin te laisse porter des vêtements plus militaires. 

Passé ܀ Légende

Dès ton premier souffle dans ce monde, on peut dire que tu as été chanceux. Noble, second fils de la famille et ange gardien en prime. Qui aurait pu deviner que tu allais user de toutes tes cartes, plus d'une fois ? Une chance insolente pour un homme qui sait l'être tout autant.
Depuis ta prime jeunesse jusqu'à tes douze ans, ton éducation a été faite par une gouvernante, qui t'a appris bien des choses, outre d'apprendre à parler et écrire. Avec elle, tu as appris l'honneur, le dévouement envers ta patrie, le sens de la justice et du devoir. Autant dire que tu as su très vite ce à quoi tu pourrais destiner ta vie.

Après l'âge des leçons, te voilà lancé à l'académie, pour continuer dans cette lancée, cette pensée. Tu fais très vite tes preuves, travaillant dur, ne rechignant à aucune tâche, toujours dans un silence presque religieux. On t'ordonnait, tu exécutais. Le parfait soldat, on arrivait parfois d'oublier que tu étais un noble. L'avantage chez vous, c'est qu'à l'armée, tout s'obtient par la sueur. Tu ne fais rien de particulier, ne te démarque pas ? Alors tu restes un soldat de nom, méprisé par le reste de l'armée, autant par les supérieurs que par les manants.
Toi, tu gagnes tes galons par le sang que tu n'hésites pas à verser. Durant un entraînement, vous êtes passés aux armes réelles. Ce n'était pas un match à mort, juste de quoi ressentir le frisson de la lame passant proche de ta peau. Tu l'avais exigé, usant pour une première fois de ton rang. Alors, même quand la chair de tes lèvres s'ouvrit sous un coup de fleuret, tu continuas le combat, avalant ton propre sang. Noble ou pas, il restait rouge et avait ce goût de métal.

Rien ne t'arrêtais, surtout avec cette envie de faire toujours plus pour ce pays. Les années passant, tu n'avais plus grand chose à apprendre pour tes parents, et pourtant tu restas cinq ans de plus, afin de finir absolument toutes tes classes. Mais ils te l'accordèrent, ta promise n'ayant pas encore l'âge requis pour le mariage. Tu sortis commandant, très satisfait de toi, fier de mériter réellement tes galons.
À peine revenu, la cérémonie eue lieu. Une cartésienne pour femme, d'à peine seize années. Une enfant pour toi, qu'il t'a fallu baiser à votre nuit de noces, pour satisfaire tout le monde.
Enfin... Tout le monde... Le mot est bien fort, car comme à chaque fois que tu donnes de ton corps, tu ne penses qu'à ton plaisir. Les expériences sexuelles n'ont pas manqué à l'académie... À chaque homme qui te faisait des avances, ton mépris pour l'homosexualité est devenu de plus en plus fort. Littéralement, tu leur mettais pour te vider, après tout, ''un trou est un trou'' et ce n'était pas toi l'homosexuel dans l'histoire.

Ainsi, tu as fais ce qu'on te demandait, comme toujours. Elle n’eut aucun plaisir, et globalement, toi non plus, comme toujours. Là encore, tu fus chanceux, elle tomba enceinte dès la première fois. Bien que vous ayez remis le couvert plusieurs fois, n'en sachant rien encore. Très vite, elle se retrouva malade, bien plus chétive chaque semaine. Chaque fois que tu posais ton regard froid sur elle, ton mépris augmentait encore. Elle te dégoûta, faible femme qu'elle était. Pas même capable de supporter une grossesse, elle n'était que plainte et gémissements.
Bien sûr, tu faisais chambre à part, ne voulant pas entendre parler d'elle... Après tout, tu avais accompli ton devoir, on ne t'avait pas demandé de t'occuper de ta femme. Non, le contrat ne te demandait que de la mettre enceinte. Alors, tu vaguas à tes occupations, là où l'armée avait besoin de toi. À l'époque, tu fréquentas beaucoup les bordels de prestige, pour éviter d'autant plus de rentrer le soir.

Là-bas, tu pouvais demander à voir des femmes fortes, avec du caractère, qui te donnèrent du plaisir à travers le leurs... Mais malgré cela, tu aimais reprendre le dessus sur elles, tu adorais cette sensation de force que tu pensais avoir... Cela te confortait à la fois dans ton machisme et ta misogynie.
Les mois passèrent et se ressemblèrent, et malgré le soin apporté par l'intendante de la maison à ta femme, celle-ci mit bas prématurément... Le petit n'avait que sept mois de conception quand il vit le monde pour la première fois, mais ne hurla pas. Tu n'étais, bien sûr, pas là, trop pris par ton travail. Quand tu rentras, on t'apprit sa mort. L'enfant aussi avait failli y rester aussi mais finalement, il s'était rattaché à la vie.

Tu as eu donc un espoir pour cet enfant, te disant qu'il allait être ton digne descendant... Mais au fur et à mesure qu'il grandissait, tu te désillusionnais. Non seulement elle n'avait pas été capable de survivre, mais en plus elle t'avait donné un fils perpétuellement malade, maigrichon, sachant à peine respirer sans devoir reprendre son souffle la seconde d'après. Tu compris bien vite qu'il ne pourrait jamais aller à l'académie ainsi, et tu disparus pratiquement de sa vie, préférant largement t'investir dans ton pays.
En parlant de celui-ci, voilà déjà quelques années que la situation virait petit à petit au cauchemar. Le mariage entre votre roi et Iris, sœur de la reine de Cyfalen, aurait dû avoir lieu il y a déjà quelque temps et pourtant... Rien n'arrivait. La crise entre les deux pays se faisait sentir petit à petit, et le seul point qui empêcha la guerre... Et bien c'était le fait qu'ils n'avaient pas d'armée, eux. Votre Roi coupa tout contact commercial avec eux, se coupant du reste du monde. Il semblait sombrer dans une folie bien à lui...

Couplée à une très mauvaise récolte, la famine se fit vite ressentir à travers tout le pays... Tu essayais de t'occuper au mieux des ressources de l'armée et de te maison mais ça ne suffisait pas. Rien ne l'était, la crise s'intensifia... On vous demandait de sacrifier de plus en plus le peuple, de ne penser à rien d'autre... Au même moment, ton cousin te parla de rentrer en guerre contre votre dirigeant, désormais tyran.
La réflexion fut longue, mais au final, tu pensas au-delà de ton serment au roi... Ce n'était pas lui que tu devais protéger au fond, mais bien ton pays.  Il ne fallait pas le laisser continuer, alors, tu quittas l'armée. Beaucoup de tes hommes te suivirent, excédé eux aussi par tout cela... Mais pas tous, cela t'énerva tout en étant logique pour toi... Pourquoi suivrait-il un colonel d'à peine vingt-neuf ans?


Tu te mis au service de ton cousin, qui t'avait persuadé que sa cause était bonne et surtout, qu'elle était juste. Et pour la justice, tu aurais pu traverser le continent de long en large. Cependant, à défaut de prouver tes talents de randonneur, tu allais démontrer à tous que tu étais un leader né, un homme prêt à se sacrifier lui plus que quiconque pour réussir un combat. La guerre civile éclata alors, et elle était menée par vous deux.
Les pertes étaient nombreuses, les batailles fastidieuses. Tu accompagnais tes soldats aux combats, faisant front avec eux contre ce roi qui semblait vouloir faire couler le pays avec lui. Ce carnage durera pendant plus d'un avant que vous n'arriviez à franchir les portes du château. Ton corps ainsi que celui de tes hommes se recouvraient encore de cicatrices... Mais enfin, vous touchiez au but.
Finalement, la salle du trône s'ouvrit devant vous, et pragmatique, tu fis face à votre ancien roi avant de le tuer toi-même. La guerre s'arrêta tandis que son sang glissait le long de ton épée. Ainsi naquis ton surnom de ''Régicide'', sous les clameurs des gagnants.

Le reste se fit bien vite, et ton cousin s'imposa évidemment comme roi. Désormais, c'était à lui que tu prêterais serment, tant que Hildebrand tiendrait les siens : protéger le pays, avant tout. Il se maria à Iris Selith et enfin les contacts reprirent entre vos pays. Cyfalen vous vint alors immédiatement en aide pour lutter contre la famine en vous apportant des ressources plus qu'attendus. Enfin le peuple pouvait respirer de nouveau.
Une cérémonie officielle fut organisée pour médailler les braves qui t'avaient accompagné et survécu. Tu avais tenu à ce qu'il en soit ainsi, qu'on reconnaisse la valeur de chacun d'entre eux. Ce jour-là, on t'avait imposé ta plus belle tenue, ainsi que des armes d'apparats. Même si ce jour était important, tu trouvais cela inutile, aurait préféré une image bien plus... Banale. Mais il ne pouvait en être autrement pour le héros de guerre.
Alors, tu restas debout, au côté d'Hildebrand, accordant un signe de tête et un demi-sourire à chaque soldat qui passait devant vous. Même si tu ne l'aurais jamais avoué, tu étais fier de chacun d'entre eux. Et tu espérais pouvoir l'être encore pour un moment. Il n'était plus question pour eux de te décevoir d'une quelconque façon. La fin touchant, ce fut à ton tour de défilé. Promu Général des armées de Sonnenstadt du haut de tes trente ans.

En sortant de la cérémonie, tu voulu d'abord t'entretenir avec tes petites gens. Même en temps de fêtes, tu voulais t'assurer de leur bien-être - et parader un peu devant eux, sentant qu'ils voulaient te voir ainsi. Malheureusement pour vous tous, les choses ne se passèrent pas au mieux... Tandis que tu parlais avec eux, éloigné du reste de la foule, des fidèles à l'ancien roi, étaient bien décidés à te faire payer ta traîtrise.
Ils arrivèrent bien trop vite pour vous tous, mais heureusement pour toi, tes petites gens décidèrent de s'interposer entre deux d'entre eux, mais le troisième lui... Il put s'attaquer à toi, te tailladant d'abord la paume de ta main, celle là même qui repoussait son premier coup. Alors que tu tentas de dégainer, sans le moindre succès, ce fut ta joue qui reçut le coup. Tu serras les dents, quelque peu sonné par la vive douleur que provoquait la chair s'ouvrant en deux.
Et il en profita. Tandis que les cris de tes serviteurs résonnaient dans les couloirs, alertant les soldats plus loin, il t'entailla la gorge, t'égorgeant sans que tu aies le temps de comprendre réellement se qu'il ce passait. La main se plaquant contre, le sang chaud s'échappant entre les doigts, tu posas un dernier regard sur l'homme fuyant déjà au loin. Tu tombas à terre, terrassé. Tu étais si beau, dans la tenue qu'on avait exigée de toi.

Sans trop savoir comment, tu pu survivre. Des semaines plus tard, tu repris enfin connaissance, groggy et perdu. Tu étais pourtant dans ta chambre, mais à côté de toi ne se tenait pas l'intendant de la maison habituelle... Non, il était mort pour te protéger, et tu revoyais encore et encore son corps sans vie s'écroulait. Tu observas alors une jeune femme, magnifique apparition irréelle. Tu pensas à un délire, puis elle te parla. Les sons étaient doux, rassurant. Ce n'était plus la fièvre due aux blessures qui t'habita à cet instant donné, et qui te hante toujours aujourd'hui.
Enfin, quand tu peux de nouveau parler et te redresser, tu découvris la nouvelle intendante, une certaine Miho... Comment une si jeune femme avait pu s'imposer ainsi dans votre vie à tous? Tu l'ignorais, mais pourtant... Cela ne te dérangea pas. Elle te donna un nouveau souffle, quelque chose de précieux dans ta convalescence. Et c'est ainsi qu'en sa présence, tu te découvrais de nouvelles facettes, toutes plus étrangères les unes que les autres.

Tu te tins de nouveau debout, fier et droit. Tu ne tentas pas de camoufler d'une quelconque manière tes cicatrices, tu avais cure de ce que les gens pouvaient bien dire dessus. Tu repris ton poste au plus vite, et aida à la prospérité de ton pays. Néanmoins, tu n'oubliais pas le visage de l'homme qui s'était enfui, cet homme qui avait tenté de te prendre la vie. Alors, tu décidas de le retrouver, pour te venger, pour laver ton honneur.
Il te fallut deux longues années de recherches pour réussir à remettre la main dessus. Personne, pas même Miho, ne pouvait réussir à t'enlever cette obsession. Tu devais le faire, pour toi, pour les personnes qui étaient mortes ce jour-là. Bien que trop de sang eût déjà coulé, il te fallait celui-ci aussi. Alors, quand tu pu enfin le retrouver, tu y allas. Tu l'affrontas et le tuas le plus rapidement possible. Le duel n'était pas équitable, mais il n'aurait jamais pu l'être... Pas avec un homme sans honneur tel que lui.

Enfin débarrassé de ce démon-là, les quatre années qui suivirent se déroulèrent sans accrocs particuliers. Tu faisais ton travail, vite et bien. Tu mis en place bien des réformes au sein de l'armée, pour avoir des hommes toujours mieux entraînés et prêt à se battre. Tu n'avais qu'un mot à dire, et ils iraient conquérir un pays pour Sonnenstadt. Aussi, tu adoptas définitivement un look plus cartésien, vestiges de ton mariage. Étonnamment, tu aimes ce style très... Extravagant, qui contraste énormément avec ta froideur.
Les rapports avec Miho devinrent désormais, quant à eux, ton seul lien réellement persistant avec une femme. Alors qu'il n'y avait rien à noter entre vous, tu ne pouvais te résoudre à aller voir ailleurs... Être fidèle à une femme était une notion très abstraite pour toi mais qui pourtant s'imposait dans ce cas présent.

Cependant, dans ce tableau idyllique, des fidèles à l'ancien roi voulurent renverser de nouveau le pouvoir. Ils se faisaient appeler les Ovariens, des royalistes qui commençaient de plus en plus à faire parler d'eux, dans les terres centrales du pays. Quand le nom et leurs revendications arrivèrent jusqu'à tes oreilles, tu n'as peu une seconde d'hésitation. Il fallait étouffer la révolte dans l'oeuf, tant qu'il en était encore temps, avant qu'ils ne parviennent à briser l'équilibre qu'était en train d'amener ton cher cousin.
Tu y allas, à la tête d'une armée, et ils furent bien vite anéantis. Tu en as eu cure, quand ils essayèrent de négocier. Ce n'était que des faux semblants, des traîtres qui risquaient le bien être du pays dans son intégralité. Ils avaient voulu la guerre ? Ils l'avaient eu. Il n'y eut aucun survivant. Le régicide avait encore frappé, dans toute sa splendeur. Quand tu revins chez toi, la vision de Miho te réconforta. Tout cela était nécessaire, pour le bien de tous.

Il y a un an, ton roi te convoqua, et t'expliqua qu'il t'envoyait toi et une partie de l'armée à Cyfalen. La situation actuelle ne lui permettait plus de rester passif. Il en allait de l'honneur à tous, jamais vous ne pourriez tolérer pareil affront. Tu acceptas la situation, comme à ton habitude, bien que partir dans un pays avec une monarchie matriarcale te déplaisait au plus haut point.
La route fut longue, mais vous arrivèrent finalement à bon port. Tu pris vite place dans tes nouveaux quartiers, avec la fidèle Miho toujours à tes côtés. Ton fils lui... Devint plus que jamais un moins que rien à tes yeux, en rejoignant l'académie des sciences de Selith à votre arrivée...

Te voilà aujourd'hui toujours sur place, faisant face avec des sourires empreints de faux-semblants, dégoulinant de tout ton savoir-vivre. La situation ne semble pas encore prête à se dégorger, mais tu resteras là jusqu'au bout, prêt à accomplir ton devoir, quelle que soit la tâche.

Epilogue

Age: Vingt-trois piges !
Sexe : Mystère et boules de gomme. Viendez demander.
Comment avez vous découvert le forum? : On m'a traîné de force ici.
Autres comptes : Aucun o/
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Commentaires : Je vous aime déjà.


Dernière édition par Faust Von Hikeng le Mer 7 Oct - 11:32, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: «Si ça saigne, ça peut mourrir.»   «Si ça saigne, ça peut mourrir.» I_icon_minitimeJeu 4 Juin - 22:41

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